Associations historiques Constructeurs de répliques

La liste ci-dessous des assocations est juste ouverte. Vos contributions permettront de la rendre plus complète.

En 1979, à l'initiative de Madame Vié-Klaze, a été créée une association de type loi 1901 ayant pour titre "COMITE DE CELEBRATION DU CINQUANTENAIRE DE LA CREATION DE LA BASE DE MONTAGE ET D'ESSAIS EN VOL DES HYDRAVIONS LATECOERE A BISCARROSSE".

A la suite de ces célébrations en 1980, cette association devient "L'ASSOCIATION DES AMIS DU MUSEE DE L'HYDRAVIATION", dont le but est de créer un Musée Historique sur le thème de l'hydravion à Biscarrosse mais aussi au niveau international. Ce projet est issu de la volonté de Madame Vié-Klaze, qui réussit la gageure de réunir des documents et des pièces de collection, et surtout des bénévoles pour conserver ce patrimoine.

Madame Vié-Klaze obtient de la mairie de Biscarrosse la cession de terrains et de bâtiments désaffectés (anciennes maisons d'habitations des ingénieurs et pilotes d'hydravions chez LATECOERE) pour abriter ce musée en devenir.

Aujourd'hui, le Musée de l'Hydraviation s'étend sur plusieurs batiments où son collectés de nombreux souvenirs, pièces et documents

Des passionnés construisent une réplique de l'avion d'Henri Fabre. Cette machine devrait voler en 2010 soit pile 100 ans après le premier vol d'un hydravion dans le monde; ce jour là, le 28 Mars, Henri Fabre décollait de l'étang de Berre : une grande première mondiale à l'époque.

Incroyable outsider dans la course au premier vol du "Canard" d'Henri Fabre cette association s'est lancée dans la construction d'une magnifique réplique avec les moyens du bord, sur des mesures prises au Musée de l'Air.

 

 

Cliquez ici pour lire leur magnifique aventure, faite d'amitié et de nuits blanches

Saint Pierre et miquelon - été 2009

Une équipe de la marine nationale française tente de retrouver les débris de l'Oiseau blanc, un avion qui se serait abîmé au large de Terre-Neuve il y a 82 ans.
Le 8 mai 1927, les aviateurs Charles Nungesser et François Coli décollent de l'aéroport du Bourget à bord de ce biplan de 15 mètres d'envergure. Ils veulent être les premiers à relier Paris à New York sans escale.
Les deux aviateurs n'ont jamais atteint leur destination, mais aujourd'hui, des chercheurs français tentent de prouver que leur avion a réussi à traverser l'Atlantique Nord.
Le passionné d'aviation Bernard Decré est à la tête de cette mission. Il concentre ses recherches au large de Terre-Neuve, près de l'archipel français de Saint-Pierre-et-Miquelon.
« On a des preuves qu'ils sont passés sur Terre-Neuve. On a 14 ou 15 preuves, des pêcheurs de homard, etc. On pense vraiment qu'ils sont ici parce qu'il y a des bouts d'ailes qui ont aussi été retrouvés en 1927-1928 », indique Bernard Decré.
La traversée de l'Oiseau blanc aurait eu lieu seulement 15 jours avant le vol historique de l'aviateur américain Charles Lindbergh, qui a effectué le lien entre New York et Paris.
« Ça veut dire que 15 jours avant Lindbergh, il y a quand même eu deux maudits Français, comme on dit par là, qui ont réussi la traversée de l'Atlantique, ça, c'est certain, et qui ont battu le record de distance. C'est simplement pour réajuster un peu l'histoire mondiale de l'aviation », affirme Bernard Decré.
À l'aide d'un sonar, l'équipe de M. Decré espère retrouver le moteur de l'Oiseau blanc, une pièce de 450 kilos d'acier qui repose quelque part sur le fond marin. Il s'agit probablement du seul vestige de l'appareil qui subsiste.